Une forêt, une jungle, une mer ? Un cerf, un homme, un corps, 1000 corps échoués… A l’heure où tendre la main peut être un délit, il faut faire face au défi.
Dans « BARKA », il y a Marseille. Le Marseille de l’ailleurs, le Marseille de l’autre, ce Marseille où valsent les valises, où l’on se retrouve à un comptoir de Noailles pour trinquer à la mémoire de Fausto, où on laisse nos pieds décider pour nous. Ce Marseille où on fait ce qui nous plait, se rassembler, partager, être solidaires, être vivants !
Dans « BARKA », il y a l’Afrique. Tartar(e) a invité Gari à Ouagadougou en 2014, il avait l’impression d’être à la maison, Place de la femme, au pays des hommes intègres.
Dans « BARKA », il y a un figuier, des abeilles, une lionne, des valises, des artistes en lutte, des amis qui se retrouvent, des oiseaux, un hérisson, des rayons de soleil, un cerf, un jardinier…
Dans « BARKA », il y a une chanson de Guizmo (Tryo), une chanson avec Moussu T (Massilia Sound System), une avec Sally Nyolo (Zap Mama), une avec Daït Man et une écrite avec la Rue Kétanou.
On avait un Papa de compétition, il fallait des frères pour composer